Cette cerise sur le gâteau a des allures de pastèque. Il faut dire que le gâteau était pas mal également… Ne nous le cachons pas, nous n’en savons pas beaucoup plus sur l’Afrique du Sud après cette semaine express ; c’est néanmoins l’occasion de parler aux enfants de Biko et Mandela, de l’ANC et de Soweto, et de la formidable mutation qu’a connue ce pays à partir de la fin des années 80. Sur la route qui nous mène au Kruger – 400km au N-O de Johannesburg –, des vallées où on voit beaucoup de fruitiers (banane, avocat, orange), et alternance de quartiers privilégiés sécurisés et de bidonvilles. Nous entendons parler un peu Anglais et surtout Zoulou et Afrikaans.
Nous avons pu admirer une faune impressionnante dans une des plus belles réserves d’Afrique, le Kruger National Park. Dans le parc, il existe des camps fermés, aux logements agréables et surtout avec des terrasses permettant d’observer la faune aux alentours. Au rest camp d’Olifant, par exemple, de notre bungalow on a une vue exceptionnelle sur la rivière ; les hippos campent à l’aplomb de notre balcon.
Au hasard des pistes du parc,
on croise de nombreux impalas, des éléphants (troupeau jusqu’à 60 têtes), des gnous, des singes, des autruches, des phacochères, des buffles (il nous est arrivé de rester bloqués plus d’une demie heure pour laisser passer un troupeau de 3 à 400 bêtes) et quand on a une ou deux heures de disette photographique, on trouve toujours sur notre chemin un groupe de girafes ou quelques zèbres et gnous pour rompre la monotonie. Les rhinos blancs, très impressionnants, sont visibles avec un peu de chance. Des hyènes batifolent dans une mare sous les yeux de rhinos et phacochères. Dans presque chaque point d’eau ou rivière on aperçoit des hippos et les crocos. Côté antilopes, on voit surtout des koudous avec leurs cornes torsadées et des kobs. Les félins se sont faits plus discrets : un couple de lions se prélassant au bord d’un étang, un léopard traversant furtivement une piste et une tortue-léopard (mais là, ça ne compte pas vraiment) sont nos seules touches.
on croise de nombreux impalas, des éléphants (troupeau jusqu’à 60 têtes), des gnous, des singes, des autruches, des phacochères, des buffles (il nous est arrivé de rester bloqués plus d’une demie heure pour laisser passer un troupeau de 3 à 400 bêtes) et quand on a une ou deux heures de disette photographique, on trouve toujours sur notre chemin un groupe de girafes ou quelques zèbres et gnous pour rompre la monotonie. Les rhinos blancs, très impressionnants, sont visibles avec un peu de chance. Des hyènes batifolent dans une mare sous les yeux de rhinos et phacochères. Dans presque chaque point d’eau ou rivière on aperçoit des hippos et les crocos. Côté antilopes, on voit surtout des koudous avec leurs cornes torsadées et des kobs. Les félins se sont faits plus discrets : un couple de lions se prélassant au bord d’un étang, un léopard traversant furtivement une piste et une tortue-léopard (mais là, ça ne compte pas vraiment) sont nos seules touches.
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